Valoriser sa formation antérieure et/ou son expérience professionnelle (VAE)

Sous certaines conditions et en regard des études envisagées, il est possible de valoriser des crédits acquis ou de valoriser de votre expérience personnelle et/ou professionnelle, auprès de jurys.

La valorisation des crédits acquis

Il est possible de faire valoriser par les jurys les crédits acquis par les étudiants au cours d’études supérieures ou parties d’études supérieures suivies avec fruit. Les étudiants qui bénéficient de ces crédits sont dispensés des parties correspondantes du programme d’études.

Lorsqu’il valorise les crédits acquis dans le cadre d’études préalables, le jury ne peut valoriser davantage de crédits que ceux octroyés par l’établissement où les Enseignements ont été suivis.

La valorisation des acquis de l’expérience (VAE)

Cette expérience personnelle ou professionnelle doit correspondre à au moins cinq années d’activités, des années d’études supérieures ne pouvant être prises en compte qu’à concurrence d’une année par 60 crédits acquis, sans pouvoir dépasser 2 ans. Au terme d’une procédure d’évaluation organisée par les autorités de l’établissement d’Enseignement supérieur, le jury juge si les aptitudes et connaissances de l’étudiant sont suffisantes pour suivre ces études avec succès.

Au terme de cette évaluation, le jury détermine les Enseignements supplémentaires et les dispenses éventuelles qui constituent les conditions complémentaires d’accès aux études pour l’étudiant.

En vue de l’admission aux études via la valorisation des savoirs et compétences des étudiants acquis par leur expérience professionnelle ou personnelle, l’établissement d’Enseignement supérieur organise un accompagnement individualisé visant à informer l’étudiant sur la procédure à suivre telle que fixée par les autorités de l’établissement et précisée dans le règlement des études.

Pour plus d’informations, renseignez-vous auprès de l’institution concernée, qui vous aidera dans vos démarches.

A noter : dans l’Enseignement de Promotion sociale, ce mécanisme s’intitule la « reconnaissance des capacités acquises ».